Sans surprise, l’amélioration de l’efficacité énergétique d’un bâtiment tertiaire permet non seulement de faire des économies d’énergie mais permet également de réduire les factures énergétiques. Cet élément apparaît comme capital dans une conjoncture économique où les prix de l’énergie ne cessent d’augmenter. L’INSEE estime d’ailleurs une hausse des coûts de l’électricité de 77%* pour le tertiaire en 2023.
* Ces prévisions ne tiennent pas en compte des mesures gouvernementales telles que « l’amortisseur électricité », le « guichet d’aide au paiement des facture de gaz et d’électricité », le «plafonnement pour les TPE » et les éventuels rabais de la part des fournisseurs.
De même, s’attaquer à la problématique énergétique dans le tertiaire existant est un moyen de répondre aux enjeux climatiques auxquels nous sommes confrontés. Nous le savons, nous devons considérablement réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) et préserver le plus de ressources possibles si nous voulons lutter contre le réchauffement climatique. Grâce au développement de l’efficacité énergétique dans les bâtiments tertiaires existants nous contribuons à la sobriété et à la réduction de l’empreinte carbone.
Nous pouvons ainsi préserver des ressources telles que l’énergie, mais également limiter l’épuisement des ressources naturelles telles que le sable, indispensable dans le secteur de la construction.